vendredi 24 janvier 2014





Vendredi 24 Janvier 2014


Prier… [1] ... les cascades de frais, les banques vivent de leurs « services » et non du placement de leurs dépôts et de la croissance économique qu’ells génèrent, elles sont plus fonctionnaires que les agents publics que chacun daube sans savoir ce qu’il manquerait (tout) s’ils avaient disparu. Enième propos du Cardinal BARBARIN. L’impression d’énergie et de tous azimuts, mais moins de spirituel, nous avaient frappé en Juillet 2003, ma chère femme et moi quand nous l’avons démarché pour les gestions de fonds éthiques et solidaires. Il brûle de faire de la politique. Chef mais aime-t-il ? ses textes n'ont pas de chaleur, ils revendiquent et ne donnent pas, ils enseignent l'exigence pour elle-même et établissent bien moins le contenu... ils sont durs, il est dur. Les prêtres au pouvoir ? ce serait ou la pagaille à plus grande écjelle encore et en système qu’aujourd’hui avec l’Etat laïc, ou ds cruautés sans nom. Textes de Vatican II. Si l’évêque confère le sacerdoce à l’ordinant, il ne lui est « supéreur » qu’en chronologie. Pour moi, du pape au prêtre, il y a le pouvoir de consacrer le pain et le vin sublimement à la suite du Christ et donc d’assurer la présence réelle. Je comprends tout à fait le sens du texte de Vatican II, mais il ne m’avance en rien dans le spirituel et il démobilise : notre évêque, je ne le vois qu’en habit et en foule, et ce n’est que par hasard que j’ai pu m’installant à une place vide à sa table dans les jours de son arrivée où il était venu fréquenter un colloque sur le réévangélisateur de Vannes (saint Vincent Ferrier, venu de la Valence espagnole : comment était-il compris ici ?). depuis (hiuit ans ? sept ans ?) inacessible, ne répond ni aux demandes d'entretien, ni aux lettres, s'en fait même la réputation sans


matin

Les réformes inutiles ou que personne ne demande et celles qu’on ne fait jamais ou, dont du haut de l’Olympe (« la » politique…) on ne disccerne pas le besoin ni n’entend la réclamation. Exemple : l’aggomération de Vannes va distribuer des bacs, un par habitant avec jour de collecte du contenu de ces bacs dont je ne sais pas la matérialité, couvercle ou pas, contenance ou pas ? remplaçant ce qui donnait satisfaction : de grands conteneurs, non loin des habitats en campagne. Pour notre part, avec nos chiens, il va falloir les enfermer les jours de collecte, etc…… En revanche, l’écoulement des aux pluviales par exemple

Les deux François, l’homonymie de prénom fait déjà gagner une ou deux lignes aux commentateurs. Une demi-heure de conversation, sans doute figée avec trop de témoins et preneurs de note. Demander au pape du lobbying international… pour la Syrie et autre, sinon l’Iran de manière à faire plaisir à Israël…alors que la France, membre permanent du Conseil de sécurité, pourrait provoquer un débat sur les chrétiens au Proche-Orient et ouvrir une jurusprudence : les communautés non-étatiques, comment ls défendre et les faire représenter internationalement. Evidemment, toutes les minorités revendiquant d’exister, ou les Etats subordonnés type Tchéténie, les Roms évidemment pour qui l’Union européenne doit inventer une citoyenneté indépendante de tout Etat national, etc… de l’invention donc. Du côté de l’Eglise, d’autres obsessions que les législations nationales qui n’auraient pas à tant traiter d’éthique, de biologie et de défense in abstracto de la vie s’il n’y avait d’abord des politiques sociales, protégeant les gens de tels dilemmes que l’avortement. La percée par laquelle l’Eglise, en France et dans les pays dits développés et démocratiques où cependant le pouvoir est souvent loin du peuple, apporterait quelque chose de décisif, précisément pour la démocratie serait de militer pour le vote de conscience dans toute assemblée, et pour la prise en compte du vote blanc pour tout scrutin, celui-ci étant chargé de recueillir assez de voix pour un quorum, faute de quoi il ne serait pas valide. La réalité, c’est la tyrannie de majorités supposées ou de gouvernants abusant des manettes et de la possession d’état. Ce que ne justifie nullement une sagesse rarement rencontrée. Le despotisme n’est plus chez nous totalitaire, mais il n’est pas non plus éclairé.

après-midi

Depuis quelques jours, je renoue aec une réflexion périodique commencée au moment des Jeux de Pékin qui coincidaient avec une recrudescence de l’asphyxie du Tibet par des immigrations exogènes massives. N’y aller que sportivement, mais pas politiquement, le chantage aux contrats montrant d’ailleurs que ceux-ci ne répondent pas à un besoin mais à une politique, ce qui les rend fragiles. Soutenir au maximum les dissidents. L’Union soviétique était presque perméable depuis la fin des années 1960, politiquement la Chine ne l’est toujours pas. En Afrique, il est avéré que nos deux intrerventions « pour la bonne cause » sont soutenus par des régimes peu recommandables fondés selon des coups militaires. Comment faire ? réponse : être. Ne plus privilégier des politiques d’Etat à Etat qui nous corrompent à notre tour, pas seulement financièrement : depuis Nucci et le Carrefour du développement, une trentaine d’années ou pas loin, nos ressortssants corrompent et se laissent corrompre (Guéant) , mais moralement, car nous entrons dans le jeu des concessions du mal pour pallier le pire, croyons-nous, et nous ne faisons qu’aider la contagion. Une politique vis-à-vis des peuples et singulièrement des personnes : droit d’asil certes mais même soutiens. Le salut du monde est dans l’Etat de droit, la transparence, la démocratie. Les dissidents de ces régimes totalitaires sont l’avenir de leur peuple et aussi notre chance, car nous sommes depuis le traité de Marrakech et dans l’ambiance qui le fit conclure, les perdants de la donne actuelle, à tous égards. Certainement, une voie à réfléchir, des mises en place européennes, des exposés clairs en Assemblée générale des Nations Unies et au Conseil de sécurité.

Je lis alors le Monde du 23 courant: la corruption en Chine, la « commercialisation du pouvoir politique ». Il en ressort deux choses, trois même si l’on compte le préalable qui est de constater que l’ombre nécessaire pour amasser indûment des fortunes et gérer des influences, est le mieux fournie par des régimes totalitaires. Plus précisément, deux points donc. Ce sont des territoires britanniques qui sont les paradis fiscaux les plus recherchés, évidente parenté d’intérêts, de manières et de circuits : Hong Kong, la Cité de Londres et ces Antilles. Cette même Grande-Bretagne qui n’a presque jamais joué le jeu européen, sauf peut-être les trois ans d’Edward Heath. Donc, la question de confiance : vous changez, vous abattez vous-même le pan le plus important de la spéculation financière mondiale et vous n’êtes pas constamment en exception d’Europe (le « juste retour » depuis 1984 à Fontainebleau). Second point, l’exposé des résultats d’exploitations de centaines de milliers de documents par ICI (sigle développé ? anglo-saxon) par le Monde cite, pour mémoire le directeur financier de la campagne présidentielle de Hollande dont le nom avait été tu dans l’heure de son énoncé en Mars-Avril dernier, et souligne aussi qu’à Bercy (Tracfin, notamment, quoique Tracfin n’y soit pas logé physiqument) comme au Quai la chasse à l’investissement chinois suspect n’est « pas une priorité ». Ce seraient les Russes et d‘autres. Manque de coopération des institutions chinoises ? peur de représailles commerciales ? A mon sens, nous aurions… nous aurons des surprises : l’U.M.P., Raffarin principalement., intérressés financièrement à la pénétration chinoise… Et il y a ces contrats de l’E.D.F. et maintenant l’actualité Peugeot, même si ce n’est pas principalement de la fraude.
 

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