jeudi 18 septembre 2014

Inquiétude & Certitudes - jeudi 18 septembre 2014

Jeudi 18 Septembre 2014 Eveillé autour de quatre heures, pas eu conscience de me rendormir, sensation au contraire et désagréable de ne pas me rendormir. Tourné en rond, mon ordinateur inutilisable selon mes anciennes habitudes, aucun projet cohérent d’écriture et ce que j’avais sur le métier s’est périmé. La maison toujours pas rangée, l’herbe haute devant la cuisine, rien n’avance et nous vieillissons. La glace dans la salle-de-bains « verte », notre salle-de-bains encombrée, peu pratique mais vécue : mon visage, mon corps, je m’y suis habitué, autre corps et autre visage qu’antan. Continuité en quoi ? et comment ? France, gouvernement, conjoncture, comment en sommes-nous arrivés où nous en sommes, tous les dialogues cassés, le patronat, Bruxelles, la défiance totale envers les gouvernants et des Français envers leurs politiques et envers leurs entreprises, aucune alternative n’est proposée ni ne semble possible, ni les oppositions, ni les « frondeurs » n’en énoncent une d’ensemble… alors ? Mal-être hier et chaleur amicale en même temps dans notre groupe de lecture ensemble de l’évangile du dimanche à venir. Cette idée de nantis qui rament pour la récompense et se demandent si d’autres, censément d’une espèce différente en font autant. Le ciel au mérite… alors que le décisif et l’équilibre sont, dès à présent, le compagnonnage divin. C’est d’aileurs le dilemme que vivaient sans doute les disciples à la fois heureux à la suite de leur Maître, et interrogatifs sur la suite, que serait-elle ? encombrés comme nous le somems aujorud’hui de vues toutes faites sur le bonheur, l’au-delà. Y en avait-il pour eux, puisqu’il s’agissait du rétablissement d’Israël. Ce sont d’autres qui posent la question de la mort et de la résurrection, et c’est Jésus qui place cette question devant eux à chacun de leurs moments d’enthousiasme. Prier… oui, le compagnnonage, et son stade suprême est l’amour. Dans le cas de la pécheresse, pas de texte. Elle ne demande rien parce qu’elle demande tout, le salut, et la grâce qui lui est donnée est immense, globale et totale, puisque sa présence est acceptée, son geste est compris et que ce geste, il lui est donné un sens incommensurable. Elle prophétise l’ensevelissement du Christ, elle est déjà sa compagne pour la rédemption du monde alors qu’elle était simplement venue pour elle et pour implorer le pardon de sa vie. Mais elle ne s’était aps trompée de « cible », elle avait reconnu en Jésus Celui qui sauve…. Une pécheresse… elle apportait un vase précieux plein de parfum. Tout en pleurs, elle se tenait derrière lui, à ses pieds, et ses larmes mouillaient le spieds de Jésus. Elle les essuyait avec ses cheveux, les couvrait de baisers et y versait le parfum. Par contraste total, l’hôte, un pharisien (qui) avait invité Jésus, fait l’exact contraire d’un acte de foi : si cet homme était prophète… De surcroît, il n’est pas psychologue et ne connaît pas Jésus, même et surtotu humainement : avec cet homme déconcertant et charismatique, il y a toujours une suite, un développement. Il s’est arrêté, lui, Simon, le pharisien, à la seule entrée en matière, et reçoit une « raclée » : tu ne m’as pas versé d’eau sur les pieds…tu ne ‘mas pas embrassé… tu ne m’as pas versé de parfum sur la tête… Rien qu’en usage, le nanti qui est pourtant l’hôte et qui a offert accueil, repas, maison, sans doute avec toute la troupe des disciples de Jésus, ce nanti est inférieur à la pécheresse… La perplexité sinon le rejet se cristallisent : avant même que le Seigneur ait béni Marie-Madeleine, puisque c’est elle, il lui est reproché de faire ce que Dieu seul peut faire. Qui est cet homme, qui va jusqu’à pardonner les péchés ? C’est alors que Jésus confirme : Ta foi t’a sauvée. Va en paix ! Qu’il en soit de même aujorud’hui et toujours pour mopi, les miens, tous ceux, toutes celles que je rencontre ou qui pensent, ont pesné à moi, et qu’il en soit ainsi pour notre beau pays dont la « résurrection », la remise en marche, en conscience, en espérance sont nécessaire à beaucoup que lui-même et ses enfants. Ainsi soit-il. avant la conférence présidentielle L’exercice force l’empathie et pendant quelques minutes, quelles que soient les circonstances ou les sondages, les auditeurs et téléspectauers sont du point de vue de l’orateur On « juge » alors sur la cohérence, la diction, la forme physique. Au mieux, quelques réactions qui feront date, ce fut de Gaulle… que sera donc aujourd’hui ? Il me semble, quant à moi, que si j’étais cette situation, je dirai le rêve européen, ce qui a dominé la planète pendant des siècles et qui se suicida ou presque par les deux guerres mondiales pourrait êtrre indépendant de toute alliance ou de tout bloc et par son poids spécifique contribuer avec impartialité à la paix ailleurs qu’en elle, puisqu’il faut espérer que les guerres de Yougoslavie ne ressurgiront pas davantage que les mondiales, et que la guerre en Ukraine ne va pas s’étendre. Le rêve est positif, une Union donnant l’exemple d’une diversité nationale multiple : 28 Etats de taille et d’histoire si différentes, une terre d’accueil (Mare nostrum, l’invention d’un droit européen donnant cité aux imigrés ou aux migrants quand ils veulent être sur nos terres mais sans adhérer à nos Etats nationaux. Ceux-là, les premiers à se vouloir Européen avant tout parce que d’adption en tant que tels. Je dirai quelle manière d’être fraternel, quelle manière de nous défendre, quelle manière de contribuer à la paix générale… Palestine, djihad, démocratie et développement en Afrique, équilibre du monde... et nous : alors la définition de ce qui est invoqué et jamais précisé : modèle social, valeurs de la République, qsubstance de l'âme française à chaque génération autant qu'à chaque vague d'apports extérieurs. Pour terminer sur l'économie véritable, l'entreprise n'étant pas les patrons mais les travailleurs, les invesstiseurs et les dirigeants, ces derniers en mission, contrôlés, comptables de leurs erreurs. Sur la participation démocratique, syndicalisme, vote blanc, vote obligatoire, quorum. Et la mise en cause psosible en cours de mandat de tout élu. Ce qui m'amènerait à partir si je maintiens le cours actuel manifestement désavoué, et à aller au suffrage universel si je change complètement de cap ce qui requiert alors un soutien populaire massif et explicite.... Sauf surprise, ce ne sera pas cela. Hollande rivé aux critiques contre lui de tous ordres, et au cap décidé dès avant son élection mais in petto, quoique Moscovici vendait la mèche en donnant formles possibles pour ratifier quand même le pacte budgétaire mais avec des protocoles, des additions, etc... Au mieux, quelques bons passages et surtout de l'international pour échapper à toute prise au nom de l'intérieur supérieur, etc...

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