samedi 23 mai 2015

les anti-européens de gauche - vers le forum international prévu pour se tenir à Athènes du 26 au 28 Juin 2015


Je donne cela pour information – le M’PEP inventé et animé par mon ami Jacques NIKONOFF, ancien membre du Comité central du Parti communiste français, remarquable dialecticien et analyste de nos dérioves et évolutions politiques, économiques, sociales, est l’un des pionniers de l’anti-euro et maintenant de l’anti-Union européenne en France. Evidemment, la référence grecque et la montée en puissance du Podemos espagnol.

Significatif : la difficulté pour ces gauches de se distinguer des extrême-droites qui ont le même thème et la même solution…

Pour moi, il ne s’agit pas de « sortir », au contraire. Il faut rétablir dans le sens des fondateurs de 1950 et l’actualité de leur souhait et de leur perspective n’est qu’accessoirement le fédéralisme européen ; il est fondamentalement la démocratie européenne, et principalement dans le fonctionnement de l’Union qui aujourd’hui n’est plus qu’un système intergouvernemental. C'est ce détournement de l'entreprise européenne qui détruit la conscience et donc la solidarité européennes dans chacune des nations membres. C’est la démocratie - dans l'Union et symbolisée par l'élection au suffrage universel direct de tous les citoyens européens - qui optera sans nul doute pour l’émancipation de l’Europe du système de sécurité atlantique et du dogme libéral ayant fait mettre en place une mondialisation ne produisant que des transactions spéculatives, aucun investissement et une économie « financiarisée », destructrice des Etats, seul outil dont puisse disposer par élection et démocratie internes, les citoyens. Ceux-ci ne sont pas principalement des consommateurs et des contribuables. C’est pourtant ce qu’affirme le dogme libéral.  BFF . 23 V 15

Le 22/05/2015 20:14, M'PEP a écrit :

FORUM INTERNATIONAL ANTI-UNION EUROPÉENNE À ATHÈNES DU 26 AU 28 JUIN

Par le Mouvement politique d’émancipation populaire (MPEP)


Le 21 mai 2015.


Le M’PEP, co-organisateur de ce forum avec plusieurs autres organisations de pays européens, appelle les citoyens, organisés ou non, à participer à ce rassemblement inédit qui est en passe de prendre la suite des forums altermondialistes en déclin. L’objectif est de renforcer la mobilisation contre l’Union européenne et l’euro, responsables des politiques d’austérité qui écrasent les peuples. Une coordination européenne élargie, composée des partis politiques, organisations populaires et mouvements sociaux, à l’exclusion de l’extrême droite, qui luttent pour la sortie de l’Union européenne, de l’euro et de L’Otan, sera mise en place. Ce forum fait suite à diverses rencontres auxquelles notre parti a participé. Vous les trouverez sur http://www.m-pep.org


L’entrée est libre.
  • Pour participer au Forum, contactez le MPEP en cliquant ci-dessous :
    contact@m-pep.org



Adhérez au MPEP !

Pour imprimer le bulletin d’adhésion au M'PEP, cliquez ci-dessous :
http://www.m-pep.org/IMG/pdf/bulletin_adhesion_2015.pdf

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Programme Forum d’Athènes anti-euro Juin 26-28, 2015



Published: Friday, 15 May 2015 05:43
Appel à un forum international (Athènes 26-28/06/2015) et la mise sur pied d’une coordination européenne de partis de gauche, d’organisations populaires et de mouvements sociaux luttant pour une sortie de l’Union européenne, l’euro et l’OTAN.
Inscription
Vendredi 16h30 : Ouverture du Forum et accueil des participants
Vendredi 17h – 19h15 : ateliers
1. De la crise économique à la crise politique. Les exemples de l’Italie et de l’Espagne.
2. Le conflit en Ukraine et la géopolitique de l’Union européenne et d e l’OTAN.
3. La résistance des travailleurs et populaire contre la politique néolibérale dans l’UE.
4. France : L’impasse de la gauche, la montée de l’extrême-droite et comment l’éviter.  
Vendredi 19h30 – 22h30 plénière
L’UE est-elle notre chez-soi commun ? Leçons de « l’expérience grecque » sur la crise, l’euro zone et l’UE.
Samedi 10h30 – 13h30 plénière
L’UE et les conflits au Moyen-Orient. Origines et effets.
Samedi 17h – 19h15 ateliers
1. La croissance du populisme réactionnaire et du néofascisme en Europe.
2. L’ALBA méditerranéen est une alternative à l’UE ?
3. L’UE et la gouvernance de gauche : la nécessité d’une stratégie de rupture.
4. Allemagne : l’euro est un instrument d’une nouvelle politique impérialiste de la classe dirigeante.
Samedi 19h30 – 22h30 plénière
L’euro zone est le problème – la sortie est la solution. Politiques et alliances pour la gauche.
Dimanche 10h30- 14h30
Assemblée générale. Comment le Forum anti-UE va-t-il continuer
Dimanche 18h manifestation anti-UE
Vendredi et samedi à 22h30 rock, hip-hop  et concerts traditionnels grecs auront lieu dans les environs du forum.
****
Dans tous les pays de l’UE et spécialement ceux qui font partie de l’euro zone, des politiques antipopulaires perverses sont poursuivies impitoyablement par l’UE et les gouvernements qui en sont membres : des coupes massives dans les dépenses sociales et les salaires, augmentation des impôts pour les travailleurs et diminution pour les riches, des subventions sans vergogne à de grandes entreprises supposées créer des emplois qui ne se matérialise jamais ou de courte-durée, des privatisations et des démantèlements de services publics et de la sécurité sociale. Il en résulte une augmentation exponentielle de la pauvreté, de l’inégalité sociale, du chômage de masse et l’absence de la sécurité d’emploi.
Cette situation trouve son origine dans la nature même de l’UE et de la monnaie unique, comme résumé le plus récemment dans le Traité de Lisbonne. Ce dernier est basé sur tous les dogmes néolibéraux qui ont déjà démontré leur impact négatif sur les intérêts des classes populaires et des classes moyennes. Dans l’euro zone, le déséquilibre entre les pays a empiré. L’euro est une arme de destruction massive dirigée contre l’emploi. La monnaie unique est seulement utilisée pour protéger le rendement sur l’investissement des capitalistes en maintenant un haut niveau de chômage permanent et volontaire. L’introduction des pratiques de la « Gouvernance économique européenne » entraîne une condition de souveraineté limitée et des formes disciplinaires agressives de supervision économique, comme l’a montré le rôle de la Troïka (UE-FMI-BCE)  en Grèce (où elle a poussé à des réformes néolibérales perverses et une redistribution de masse de revenus vers le capital). De plus, la politique de l’UE et l’arrangement monétaire et institutionnel de l’euro zone rendent la crise actuelle même plus aigue et perpétue un cercle de récession pervers – l’austérité – le chômage.
L’essence véritable de cette construction européenne est basée sur les valeurs et les intérêts des classes dirigeantes occidentales : européanisme, atlanticisme, le capitalisme et l’autoritarisme. Un tel système ne peut pas changer de nature ; il ne peut pas s’améliorer de l’intérieur. Il doit être démantelé  afin de construire quelque chose de radicalement nouveau. L’UE est en effet le système le plus sophistiqué au monde fondée sur une tentative de construire une civilisation basée sur les forces du marché. L’UE est un système de domination et d’aliénation horrible dont les peuples doivent s’émanciper eux-mêmes.
L’UE et le processus d’intégration européen est intrinsèquement non-démocratique. En réduisant drastiquement la souveraineté populaire au niveau de l’état-nation et en transférant le pouvoir aux mécanismes non élus de l’UE, elle mine la capacité des gens à s’organiser, à lutter, à résister et à transformer la société. Détruire la souveraineté populaire est la garantie pour les classes dominantes qu’il n’y a moyen de revenir sur « les réformes » néolibérales. Ceci va de pair avec la tentative de garantir la domination des entreprises capitalistes au niveau global, poursuivie par des organisations supranationales (l’OMC, le FMI, la Banque mondiale, l’OTAN, l’UE, l’OCDE). Ceci peut expliquer le caractère de plus en plus autoritaire de l’UE et son soutien à des régimes semi-fascistes comme celui de Kiev. 
Actuellement, la politique néolibérale de l’UE adopte même une forme plus agressive. En jeu ici n’est pas la crise dans la périphérie européenne mais la préparation de nouvelles attaques dévastatrices contre les classes dominées contre les pays au cœur de l’Europe. Une nouvelle vague d’austérité, des coupes dans les dépenses sociales, des privatisations, des démantèlements des gains historiques du mouvement des travailleurs est en route. La nécessité de résister est plus nécessaire que jamais.
Au départ de cette situation la plus grande partie de la gauche non sociale-démocrate en Europe ne conteste pas l’UE. Le résultat est un « européanisme de gauche » qui refuse de lutter contre les racines du problème, notamment le cadre économique, monétaire institutionnel de l’intégration européenne, son néolibéralisme enraciné, son caractère non-démocratique. Des appels pour « une autre Europe » avec une BCE « généreuse » et des « solutions européennes pour la dette » sont simplement prendre ses rêves pour la réalité, pas des réponses politiques. Cette incapacité d’organiser une contestation à l’UE, laisse ouvert un espace politique à « l’Euroscepticisme » raciste, réactionnaire, pro-business, chauviniste, un ersatz de partis d’extrême-droite et néofascistes.
Sortir de la zone euro et de l’UE ne sera pas des actes de nationalisme ou de chauvinisme économique. Ce seront des actes d’internationalisme et de solidarité populaire, parce qu’ils conduiront à un démantèlement d’un processus d’intégration agressif capitaliste et impérialiste.
Pour ces raisons, il est de la plus grande urgence d’organiser une Coordination paneuropéenne  d’organisations politiques de gauche, d’organisations populaires et de mouvements sociaux qui lutte contre l’UE et l’euro zone, afin de coordonner leur travail et rouvrir collectivement les débats sur la rupture nécessaire avec l’intégration européenne. La sortie de l’euro et de l’UE doivent de nouveau être la pierre angulaire de l’aile gauche et de la politique radicale, le point de départ d’un nouvel avenir progressiste, démocratique et socialiste pour les classes de travailleurs et les peuples d’Europe.
Pour toutes ces raisons un comité organisateur (MARS Grèce, le Comité « Euroexit », Autriche, la Coordinamento nationale sinistra contro l’euro’ Italie, M'PEP France, Initiative .e.V. Duisburg Allemagne), prend l’initiative d’appeler à ce Forum de gauche paneuropéen et des organisations politiques et sociales de masse qui discuteront le problème en cours et établir cette Coordination. La rencontre se tient en Grèce comme un signe de solidarité envers la lutte continue du peuple grec contre la politique d’austérité et les réformes de l’UE.
Ces six dernières années, la Grèce est passée par un désastre social sans précédent. L’étendue de la crise grecque a été le résultat direct de l’architecture financière, monétaire, institutionnelle de l’euro zone et de l’UE. Les propositions de « sortir d’affaire » de l’UE, le FMI et de la BCE ont signifié une austérité extrême et des réformes néolibérales accompagnés d’un manque de respect total pour une procédure démocratique et une souveraineté populaire. C’est une preuve de plus de la nature profondément réactionnaire et non-démocratique de l’UE et du projet « d’intégration  européenne » en général. La colère et le mécontentement contre l’austérité ont porté au pouvoir le nouveau SYRIZA-ANELL. Malgré le fait que son programme, tel qu’il est exprimé dans le dit programme de Thessalonique, soit modéré et contradictoire, le nouveau gouvernement a été placé sous une pression énorme pour capituler et accepter une humiliante continuation de la politique d’austérité. Il est clair que dans le cadre de  l’euro zone, il est impossible pour tout gouvernement de sortir de l’austérité et du programme néolibéral. C’est pourquoi une stratégie de sortie est plus nécessaire que jamais. Le forum anti-UE coïncidera avec la date limite imposée par l’UE et le FMI pour de nouvelles propositions d’austérité qui vont accroitre la politique catastrophique actuelle contrairement à la volonté du peuple grec de mettre fin à l’austérité.
(…)
web:www.antieu-forum.org
email:info@antieu-forum.org

La nécessité et les présupposés d’une sortie de l’UE immédiate et réussie



Published: Friday, 15 May 2015 05:36
Il existe plusieurs  raisons  qui conduisent à la nécessité de la sortie  de l’UE.
La première est que l’UE constitue une Union clairement orientée en faveur du grand capital et non une Union des peules. Une telle union présuppose pour se construire, à l’instar de l’état bourgeois, non sa réforme de l’intérieur, mais son renversement, sa destruction.
La deuxième raison est qu’aucune réforme substantielle en faveur des intérêts populaires ne peut avoir lieu dans le cadre de l’UE, tout simplement parce que ses directives, qui sont obligatoires pour les états membres, ne le permettent pas. Et ceci a une importance majeure à notre époque où le rapport entre réformes progressistes et changement radical plus général est plus immédiat que jamais, à cause du caractère systémique de la crise actuelle du capitalisme. Pour être résolue, cette crise nécessite son dépassement et non le retour du néolibéralisme à un modèle keynésien.
La troisième raison est que l’Être qui a été formé pour les peuples dont les pays font partie de l’UE conduit de plus en plus de citoyens à prendre conscience du véritable caractère de celle-ci et à se tourner par la suite contre la participation de leur pays. Et le rôle de la gauche est de faire avancer ce niveau de conscience, non de le faire rétrograder soit avec une séduction pro UE, soit en reportant la sortie de celle-ci de l’ici et maintenant dans le cadre d’une période transitoire anti-systémique, à l’avènement du socialisme.
La quatrième raison est que si la gauche n’exige pas la sortie de l’UE et que cette exigence est revendiquée seulement par l’extrême droite, le courant anti UE risque d’être accaparé par le fascisme, comme ce fut le cas pour le fondamentalisme musulman qui a mûri à cause de l’absence d’une issue révolutionnaire, avec toutes les conséquences tragiques que ceci aura pour les peuples.
Mais la thèse d’une sortie de l’UE ou encore seulement de la zone euro est insuffisante et risque de conduire à une servitude volontaire massive si elle prend la forme de « allons a l’inconnu ayant comme barque l’espoir ». Dans ce cas, il est certain que la grande majorité va préférer la certitude d’une vie misérable, comme elle a été d’ailleurs catéchisée par les puissants, plutôt qu’un Bonheur incertain qui peut se transformer en une catastrophe si la sortie de l’UE n’a pas été préparée tant au niveau théorique qu’au niveau d’un programme aussi concret que possible.
Des thèses comme la sortie de la zone euro et de l’UE, la socialisation des grands  moyens de production, le redressement productif etc. peuvent constituer un cadre minimum, mais sont insuffisantes pour  constituer une force attractive et convaincante pour de larges masses populaires, insuffisantes pour conduire à une difficile mais finalement de bon augure sortie de la fosse aux lions que constitue l’UE.
Une autre condition qui est liée à la précédente pour que la sortie de l’UE ait une issue positive est que celle-ci soit baséesur un mouvement populaire de masse organisé et sur un sujet politique, un parti. Cette condition est affaiblie dangereusement quand on soutient qu’une victoire électorale de la gauche est suffisante et quand le parti de gauche qui gouverne fonctionne de façon anti-démocratique comme c’est le cas du gouvernement grec, où les décisions les plus importantes sont prises par un cercle restreint de cadres.
En conclusion, nous disons Oui à la sortie immédiate organisée de l’euro zone et de l’UE. Nous disons Non à la servitude volontaire dans l’UE, Non à la sortie désordonnée.
ROUSSIS GIORGOS

Signature de l'appel



Published: Thursday, 09 April 2015 11:32
M'PEP.
Chers camarades,
Le M’PEP, parti de la libération nationale et de la démondialisation a pour objectif, un socialisme pour le XXIe siècle. Ceci inclut, bien sûr, le combat pour un véritable internationalisme basé notamment sur la charte de la Havane rénovée. (http://www.m-pep.org/spip.php?article3902)
Nous signons donc l’ « appel à la mise en place d’une coordination européenne des partis politiques de gauche, des organisations populaires et des mouvements sociaux qui luttent pour la sortie de l’Union européenne, de l’euro et de l’Otan » lancé par le Comité d’Organisation (Mars Grece, Committee “EuroExit” Autriche, Coordinamento nationale sinistra contro l’euro Italie, Frente Civico Espagne, M'PEP France, Initiative .e.V. Duisburg Allemagne). Nous le ferons connaître largement et appelerons à participer à cette importante initiative. Une délégation étoffée du M’PEP sera présente au forum.
Cependant, nous tenons à vous indiquer que, pour nous, l’usage du mot “gauche” ne semble pas adapté. En effet, celui-ci est porteur d’une grande confusion dans la population et d’un grand rejet par celle-ci qui se sent trahie et abandonnée par la gauche. Les organisations de gauche revendiquant la sortie de l’UE et de l’euro sont quasi inexistantes en France. La “gauche”, sociale démocrate ou radicale, défend la possibilité de réformer l’Union européenne de l’intérieur et reste favorable à l’euro. Il existe peu de chance de faire changer d’avis les partis de gauche. En réalité, le terme de gauche ne recouvre plus la défense des intérêts des classes populaires et des classes moyennes. Ainsi, le M’PEP a-t-il décidé de s’affirmer comme un parti qui defend les classes dominées sans faire référence à la gauche.
Nous considérons que c’est le seul moyen de développer un rapport de forces majoritaire en faveur de la sortie de l’Union européenne et de l’euro, pour une politique en faveur des classes dominées.
Nous vous demandons d’ajouter cette mise au point sur le site dédié au forum: http://www.antieu-forum.org
Fraternellement
Relations internationales du M'PEP
Joël Perichaud
+33 682 194 424
relations-internationales@m-pep.org

Grèce: l’euro, la souveraineté, et l’État comme enjeux de la stratégie de la gauche



Published: Saturday, 18 April 2015 18:17
(Version complète de l’intervention au débat organisé par le collectif Penser l’émancipation le 2 Avril à l’EHESS en présence de Fréderic Lordon)

Panagiotis Sotiris

L’arrivée de SYRIZA au pouvoir, c'est-à-dire la première fois qu'un parti de la Gauche non social-démocrate arrive au pouvoir dans un gouvernement où la Gauche ne représente pas l’aille minoritaire d’une coalition est, de toute façon, un événement historique, l’ouverture d’une nouvelle phase historique, un message d’espoir tout à fait indispensable pour toutes les classes subalternes en Europe!

Tragi-comedie electorale: Mise en scène impeccable!



Published: Thursday, 02 April 2015 16:02
Communiqué du Bureau du Mouvement politique d’émancipation populaire
Les élections départementales ont donné lieu à un spectacle tragique: dans une mise en scène impeccable, chacun a joué son rôle sans aucun dérapage.

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TRACT : 29 MAI 2005 - 29 MAI 2005 :

REVEILLONS LA DYNAMIQUE POPULAIRE DU NON AU TRAITÉ CONSTITUTIONNEL !

A distribuer sans modération !!!!



29/05/2015 - Dans toute la France :
30/05/2015 - Courseulles-sur-Mer :

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