vendredi 29 avril 2016

adressé à l'Elysée - hé ! ho ! chronique supposée




Cher ami, Monsieur le Secrétaire général, si nous allons par tous moyens au secours des démocrates et des gens libres à Alep, nous serons suivis, et pourquoi pas initier aussi le mouvement des volontaires. Il y  en a pour le djhad, et les Russes - version Poutine, ce qui est loin d'être eux tous - se déguisent aussi comme cela.

Les contrats australiens - pourvu que le Parlement là-bas ne découvre des corruptions et pots-de-vin, c'est notre génie de procéder ainsi, surtout à la veille des campagnes électorales, et plus encore de nous faire prendre - mais pendant ce temps EDF et Areva sont en faillite sans que ceux qui ont profité et profitent d'être à leur tête, soient inquiétés au présent et pour leur avenir personnel.

La SNCF : les contrôleurs et la plupart des branches et des métiers demandent des renforts. Nous ne savons plus recruter ni former des conducteurs. Mais Pépy fait de la croissance externe, en Australie, paraît-il, et ailleurs : unité de compte cent cinquante millions par démonstration-acquisition. Brétigny, l'Alsace et les essais de vitesse, cela a-t-il jamais eu lieu ?

Laurent Fabius, le palais Clam-Gallas à Vienne, notre déshonneur, les procédures oubliées par le futur président du Conseil constitutionnel : point de chute, à la barre de la Cour de justice de la République.

Pour le repos du Président, imiter son prédécesseur : l'empêtro (hier DSK, aujourd'hui Emmanuel Macron) au FMI, puisque de toute façon son milieu naturel est la banque.

Bonne journée quand même, quoiqu'à votre place, je serai hanté par la pensée de nos grands recéleurs au travail, et du pays tournant à l'épave et son peuple collectivement à mendier les emplois venant de l'étranger.

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