samedi 24 février 2018

Inquiétude & Certitudes - samedi 24 février 2018

l'abstention depuis 1958 - Emmanuel Macron engendre des records



résultats élections présidentielles et législatives se suivant

2017
présidentielle
1er tour – participation 77,77% = Emmanuel Macron 24,01%  ; Marine Le Pen 21,30%;  François Fillon 20,01% ; Jean-Luc Mélenchon 19,58 % des suffrages exprimés
2ème tour – participation 74,56 %  = Emmanuel Macron 66,10 % des suffrages exprimés ; Marine Le Pen 33,90%
par rapport aux inscrits, Emmanuel Macron 17,84 %  au 1er tour ; au 2ème tour  44% (Sarkozy 43% et Hollande 39%) - contre Jean-Marie Le Pen en 2002, Jacques Chirac 62% des inscrits
records au 2ème tour abstention 25,44%  
blancs (8,51%) et nuls (2,96%)  = 11,47% des votants, soit plus que Marine Le Pen
législative
abstention 1er tour : 51,30% - 2ème tour : 57,36%

2012
présidentielle
1er tour – participation 79,47% = François Hollande 28,63 % c/ Nicolas Sarkozy 27,18% expr.
2ème tour – participation 80,34 %  = François Hollande 51,64% suffrages exprimés
législative
abstention 1er tour : 42,77% - 2ème tour : 44,59%

2007
présidentielle
1er tour – participation 85% = Nicolas Sarkozy 31,18% ; Ségolène Royal 25,87% ; François Bayrou 18,8% ; Jean-Marie Le Pen 11%.
2ème tour – abstention 15 %  = Nicolas Sarkozy 53% 
législative
abstention 1er tour : 39,27% - 2ème tour :

2002
présidentielle
1er tour – participation 69,19 = Jacques Chirac 19,88% ; Jean-Marie Le Pen 16,86% ; Lionel Jospin 16,18% 
2ème tour – abstention 19,6 %  = Jacques Chirac 82,21%  c/ Jean-Marie Le Pen 17,79%
législative
abstention 1er tour : 35,38% - 2ème tour : 39,68%

1995
présidentielle
1er tour – abstention 20,6% = Lionel Jospin 23,3% ; Jean-Marie Le Pen 16,86% ; Edouard Balladur 18,5%
2ème tour – abstention 20,30% = Jacques Chirac 52,6%  c/ Lionel Jospin 47,3%

1988
présidentielle
1er tour – abstention 20,6% = François Mitterrand 34,1% ; Jacques Chirac 19,95% ; Raymond Barre 16,53% ; Jean-Marie Le Pen 14,38%
2ème tour – abstention 19,7% = François Mitterrand 54,01%  c/ Jacques Chirac 45,97 %
législative
abstention 1er tour : 34,26% - 2ème tour : 29,74%

1981
présidentielle
1er tour – abstention 20,6% =  Valéry Giscard d’Estaing 28,31 % ; François Mitterrand 25,84% ; Jacques Chirac 17,99% ; Georges Marchais 15,34%
2ème tour – abstention 20,3% = François Mitterrand 51,75%  c/ Valéry Giscard d’Estaing 47,3%
législative
abstention 1er tour : 29,64% - 2ème tour : 25,54%

1974
présidentielle
1er tour – abstention 15,7% = François Mitterrand 42,2% ; Valéry Giscard d’Estaing 32,6% ; Jacques Chaban-Delmas 15,1%
2ème tour – abstention 12,06% = Valéry Giscard d’Estaing 50,8%  c/ François Mitterrand 49,2%

1969
présidentielle
1er tour – abstention 21,80% = Georges Pompidou 43,95% ; Alain Poher 22,85% ; Jacques Duclos 22,51%
2ème tour – abstention 30,94% = Georges Pompidou 57,58%  (37,17% des inscrits)  c/ Alain Poher 42,41%

1965
présidentielle
1er tour – abstention 14,99% (métropole) = général de Gaulle 43,71% ; François Mitterrand 32,23% ; Jean Lecanuet 15,57%
2ème tour – abstention 15,70% = général de Gaulle 55,20%  (45,24% des inscrits) c/ François Mitterrand 44,80%



résultats élections législatives distantes des présidentielles

1997
abstention 1er tour : 32,04% - 2ème tour : 29%

1993
abstention 1er tour : 31,07% - 2ème tour : 28,92%

1978
abstention 1er tour : 16,73% - 2ème tour : 28,92%

1973
abstention 1er tour : 18,75% - 2ème tour : %

1968
abstention 1er tour : 19,99% - 2ème tour : 28,92%

1967
abstention 1er tour : 19,07% - 2ème tour : 28,92%


résultats élections législatives suivant un referendum positif

1958
referendum (la Constitution de la Vème République) . abstention 15,1%
(élection du Front populaire . abstention 15,6%)
élection législative ler tour : 22,9%  (21,9% en 1946, 19,8% en 1951, 17,3% en 1956)

1962
referendum (l’élection présidentielle au suffrage direct) . abstention 23,3%
élection législative  abstention ler tour : 31,25%  

vendredi 23 février 2018

Inquiétude & Certitudes - vendredi 23 février 2018

échange avec l'association des journalistes acrédités à l'Elysée - mardi 13 février


Emmanuel Macron, les premières leçons du pouvoir

Corinne Laurent et Jean-Christophe Ploquin , le 14/02/2018 à 9h30   La Croix
Mis à jour le 14/02/2018 à 11h20 

Le chef de l’État a échangé mardi 13 février avec l’Association de la presse présidentielle sur de nombreux sujets. Du pouvoir d’achat et du service national universel mais aussi de la foi, des sans-abri et de l’épreuve du pouvoir.
Le président Emmanuel Macron lors des vœux à la presse , à l’Élysée le 3 janvier 2018. / Ludovic Marin/AFP
C’était sa première rencontre avec l’Association de la presse présidentielle, mardi 13 février, et Emmanuel Macron a pris son temps. Arrivé en retard, il est resté environ deux heures avec les 120 journalistes présents, se prêtant à un exercice de questions-réponses sur tous les sujets. Une sorte de conférence de presse, neuf mois après son élection.
Le président de la République a pris soin en particulier de clarifier deux sujets controversés. Le premier concernait les accusations d’agression sexuelle contre les ministres Nicolas Hulot et Gérald Darmanin. Le second portait sur la réalisation de sa promesse électorale d’instaurer un service national universel, sur lequel il a reconnu, dans un grand sourire, que la position du gouvernement n’était « pas très claire ».

Service national universel : « une partie obligatoire de 3 à 6 mois »

S’agissant des accusations contre les ministres, le chef de l’État a expliqué qu’il s’était « assuré qu’ils étaient en règle avec l’administration fiscale et qu’il n’y avait pas d’éléments de vulnérabilité au regard des règles de droit ». Toutefois, il a mis en garde la presse contre une « forme de République du soupçon ».
« Quand le but des contre-pouvoirs finit par être de détruire ceux qui exercent le pouvoir sans qu’il y ait de limites ni de principes, ce n’est plus une version équilibrée de la démocratie », a-t-il estimé.
À propos du service national universel, Emmanuel Macron a confirmé son intention de créer un « temps dans la vie citoyenne ». Celui-ci sera d’une durée « autour du trimestre », mais elle pourra « être plus longue si l’on intègre un service civique », a annoncé le président, évoquant « une partie obligatoire de 3 à 6 mois ». C’est un groupe de travail qui va l’établir.

Sans-abri : « On a échoué »

Questionné sur le pouvoir d’achat qui suscite l’inquiétude des Français dans les sondages, le président de la République a fermement défendu une politique de baisse des impôts et en faveur du travail. Il a cependant reconnu que « ça va prendre du temps » et a exclu de recourir à la « dépense publique » pour apporter une « réponse rapide ».
En revanche, Emmanuel Macron a admis n’avoir « pas réussi » à tenir sa promesse à l’automne qu’il n’y ait plus personne dans la rue pour la fin de l’année. « On a échoué là-dessus car il y a eu une pression migratoire forte en fin de trimestre », s’est-il justifié. « Il y a des publics fragiles, qu’il faut accompagner dans leur reconstruction personnelle, a-t-il aussi expliqué. Les places dans les hôtels, ce n’est pas une bonne mesure. Cela tient loin de la socialisation ». Il a souhaité « créer de nouvelles places et construire de vrais parcours ».
S’agissant des questions internationales, c’est son propos sur la Syrie qui a été le plus marquant. Si la France « a des preuves avérées que des armes chimiques proscrites sont utilisées contre les civils » par le régime, « nous frapperons », a réaffirmé Emmanuel Macron.

Foi : « Je crois à une forme de transcendance »

De façon moins attendue, le président de la République a accepté de répondre à une question sur la foi. « J’ai la foi au sens générique du terme, a-t-il confié. Je crois à une forme de transcendance. C’est pourquoi je respecte éminemment la place que les religions occupent dans notre société. Croire dans des religions, à des formes métaphysiques, cela fait partie de la vie en société. On ne doit pas gommer cette partie irréductible de l’homme. »
En guise de conclusion, Emmanuel Macron a livré ses premières réflexions sur l’exercice du pouvoir. Est-ce « une épreuve » ? Non, a-t-il répondu. Plus exactement « une part d’ascèse ». Confiant qu’il a pu éprouver « la part de solitude de la charge » et « la fin de l’innocence qu’elle décrète », le chef de l’État a souligné qu’il n’y avait « pas de répit ».
« Je n’oublie pas d’où je viens, a-t-il insisté. Je ne suis pas l’enfant naturel de temps calmes de la vie politique, je suis le fruit d’une forme de brutalité de l’Histoire, une effraction car la France était malheureuse et inquiète ». « Si j’oublie ça », alors « ce sera le début de l’épreuve ».
Corinne Laurent et Jean-Christophe Ploquin

échange avec l'association des journalistes accrédités à l'Elysée mardi 13 février


Le grand oral de Macron devant la presse

Devant les journalistes accrédités à l’Elysée, le président de la République a fait, mardi, de la pédagogie sur son action et livré sa vision d’un pouvoir comme « ascèse ».
LE MONDE | 14.02.2018 à 06h37 • Mis à jour le 14.02.2018 à 11h05 | Par Solenn de Royer et Bastien Bonnefous
 
Emmanuel Macron, à Ajaccio, le 6 février.
Un rite après l’autre. Après avoir remis au goût du jour, début janvier, les traditionnels vœux à la presse, que François Hollande avait abandonnés en cours de mandat, Emmanuel Macron a fini par accepter l’invitation de l’Association de la presse présidentielle, qui rassemble, depuis 1928, les journalistes accrédités à l’Elysée, toutes générations confondues. La rencontre – premier face-à-face questions-réponses du quinquennat – a eu lieu mardi soir 13 février au bord de la Seine, à deux pas du pont Alexandre-III sous les sept mètres de plafond du café du Grand Palais, conçu comme un atelier d’artistes.
Assis sous des bustes dénudés de dieux grecs, une tête de cheval et des amphores en plâtre, le président de la République a discouru pendant près de deux heures devant 120 journalistes dans une ambiance studieuse. Il a répondu à une série de questions sur le pouvoir d’achat des Français, les sans-abri, en passant par la question de sa foi, celles des élections européennes ou des armes chimiques en Syrie.
Interrogé sur deux de ses ministres, Nicolas Hulot (transition écologique et solidaire) et Gérald Darmanin (action et comptes publics), qui font ou ont fait l’objet d’accusations de viol, M. Macron a mis en garde contre une « forme de République du soupçon ». « Où s’arrêtent la nécessaire transparence et le jeu des contre-pouvoirs », a-t-il interrogé, assurant qu’il n’avait pas eu connaissance de l’existence d’une plainte déposée contre M. Hulot au moment de sa nomination au gouvernement.
« Ce n’est pas une question que j’ai posée, a-t-il poursuivi. Mais ce n’est pas inscrit au casier judiciaire. Demander “est-ce que quelqu’un a déjà porté plainte contre vous ?”, cela n’existe dans aucune démocratie au monde. »
« Il faut collectivement qu’on se méfie. (…) On rentrerait dans une drôle de société si les responsables politiques pouvaient être constamment mis en cause pour des choses jugées », a-t-il ajouté, appelant les « contre-pouvoirs » à ne pas chercher à « détruire ceux qui exercent le pouvoir ».

« Mon fil rouge, c’est le travail »

Sur la situation économique et sociale, le chef de l’Etat a défendu sa politique fiscale « globale » en demandant une nouvelle fois aux Français de la patience et du temps avant de voir ses résultats concrets.
« Mon fil rouge, c’est le travail. La meilleure bataille pour le pouvoir d’achat, c’est le retour à l’emploi, mais j’ai toujours dit que ça prendrait du temps », a-t-il expliqué, alors qu’il perd du terrain dans les sondages.
Tandis que de nombreux retraités expriment leur mécontentement, estimant subir la hausse de la contribution sociale généralisée (CSG) sans bénéficier pour autant de la baisse ou de la suppression de leur taxe d’habitation, le président de la République a assumé ses choix. « On peut demander une solidarité générationnelle aux retraités sur la CSG », a-t-il déclaré, ajoutant que « le début de la baisse de la taxe d’habitation se verra à l’automne », pour « la totalité des mesures, en 2020 ».
M. Macron a reconnu que son « engagement » que plus une seule personne, SDF comme migrants, ne dorme dans la rue à la fin de l’année 2017 n’a pas été tenu. « On a échoué car il y a des publics fragiles qui sont en dehors des politiques publiques et il y a eu une forte pression migratoire en fin de trimestre », a-t-il détaillé, refusant toute « polémique » sur les chiffres. Prudent, il n’a pas donné un nouveau calendrier d’action : « On ne peut pas s’accommoder de cette situation. Mais ce n’est pas qu’un sujet immobilier, c’est un ensemble de stratégies à mettre en place le plus vite possible. »
Sur le front institutionnel, le président maintient son ambition d’une révision constitutionnelle pour la fin du trimestre. « C’est envisageable », a-t-il expliqué, alors que les présidents de l’Assemblée nationale et du Sénat ont remis leurs préconisations à l’exécutif. Le gouvernement devrait donc « finaliser » son projet « dans les semaines qui viennent », pour un dépôt devant le Parlement « au début du printemps ». Si M. Macron n’écarte pas d’office l’arme du référendum – « le référendum est possible », a-t-il précisé –, il « n’imagine pas qu’il puisse y avoir un blocage politique » des deux chambres sur ces sujets, l’obligeant à y avoir recours.

En Syrie, la France prête à frapper

Il a également tenu à redonner le cadre du futur « service national universel », alors qu’un groupe de travail doit présenter son rapport sur ce dossier et que des divergences se sont fait jour au sein du gouvernement sur son périmètre. Il devra s’agir d’un service « obligatoire », qui durera « autour du trimestre », voire « entre trois et six mois », pour « recréer un creuset national et citoyen ». « Il ne s’agit pas de recréer des casernements massifs ni des conscrits », a-t-il prévenu, soutenant que son coût – non chiffré – « ne sera pas prohibitif ».
Alors que le pouvoir prépare le scrutin des européennes, en mai 2019, qui seront son premier vrai test électoral, M. Macron a estimé que « l’Europe gagnerait à une recomposition politique ». Moquant les groupes actuels au Parlement européen, comme celui du Parti populaire européen, à droite, et celui du Parti socialiste européen, à gauche, qui n’ont « plus beaucoup de cohérence idéologique » selon lui, le fondateur de La République en marche (LRM) juge qu’« il y a une place à prendre pour un progressisme européen volontariste » et que LRM pourrait « structurer son propre groupe et fédérer » autour de lui au Parlement de Strasbourg.
Sur le front international, le chef de l’Etat a redit que si la France avait « des preuves avérées que des armes chimiques proscrites sont utilisées contre les civils » en Syrie par le régime de Bachar Al-Assad, « nous frapperons ». « La ligne rouge sera respectée », a-t-il insisté, en répétant qu’à l’étranger comme en France il aime faire ce qu’il a promis, gage de « crédibilité ».
« Mais aujourd’hui nous n’avons pas de manière établie par nos services la preuve que des armes chimiques proscrites par les traités ont été utilisées contre les populations civiles », a-t-il nuancé, une semaine après que son ministre des affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, a annoncé que « toutes les indications montrent aujourd’hui qu’il y a l’usage du chlore par le régime en ce moment en Syrie ».

« La fin de l’innocence »

Ironisant sur un « changement total d’univers », Emmanuel Macron, qui s’apprête dans les semaines qui viennent à prononcer un discours programmatique sur la laïcité, a même répondu à une question sur sa foi personnelle, indiquant qu’il croyait « à une forme de transcendance ».
Interrogé enfin sur « l’épreuve du pouvoir », le président qui se plaît souvent à apparaître tantôt philosophe, tantôt poète, sans redouter la grandiloquence, a disserté sur la « solitude » et la « fin de l’innocence » que sa « charge » impliquait. « Une chose est sûre, il n’y a pas de répit », a-t-il ajouté, plaisantant sur le fait qu’il fallait « accepter les matins blafards », « les cernes » et « le teint blême ».
« Le pouvoir est une ascèse », a-t-il encore affirmé, assurant qu’il n’oubliait pas d’où il venait. « Je ne suis pas l’enfant naturel de temps calmes de la vie politique, je suis le fruit d’une forme de brutalité de l’Histoire, une effraction car la France était malheureuse et inquiète », a-t-il poursuivi. « Si j’oublie ça », alors « ce sera le début de l’épreuve ».
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Vos réactions (68)
ED il y a 2 jours
Sans être forcément d'accord avec tout ce qu'il fait, c'est la 1ère fois de ma vie (et j'ai 50 ans) où j'ai le sentiment que la France est vraiment gouvernée et que le chef de l'Etat vise l’intérêt collectif à long terme plutôt que les calculs politiciens à court terme. On verra le résultat en 2022. Par contre, si ceux qui le critiquent ici pouvaient se rappeler qu'il a été élu démocratiquement et privilégier les arguments factuels aux insultes, ça ne serait pas plus mal.
 
PIOTR il y a 2 semaines
Mais que font les "craps" ou les "Hubert" pour apporter les échantillons de gaz à Manu-le-mal-élu ? Vous voyez l'ado appuyer sur le bouton des frappes face aux mig31 ? Puis la comédia continue "la France était malheureuse et inquiète" dit le capitaliste pour donner raison à sa casse sociale. Il est un théâtre qui devient succulent. Nous serons triste de perdre cet acteur oscarisable dans 4ans.
 
SIMON M il y a 1 semaines
pas d'inquiétude Piotr, vous ne le perdrez pas, et il vous faudra encore vous interroger pendant 5 ans de plus sur le "mal elu, une fois de plus"... mais bon, en même temps, vous avez le droit de préférer ses opposants probables au second tour, Wauquiez ou MLP
 
Hilare il y a 2 semaines
Bonne nouvelle en tout cas, il y aurait environ 100.000 viols par an en France (chiffre estimé), mais pas de violeurs.
 
SODOM il y a 2 semaines
Ah bon, il n'y a que des violeuses ?
 
Rockrol il y a 2 semaines
« Je ne suis pas l’enfant naturel de temps calmes de la vie politique, je suis le fruit d’une forme de brutalité de l’Histoire, une effraction car la France était malheureuse et inquiète », a-t-il poursuivi. « Si j’oublie ça », alors « ce sera le début de l’épreuve ». Chapeau bas devant ce sens de la perspective historique. Maintenant on espère des résultats pour tous car les "premiers de cordée" ont été très bien servis (-3 millions d'Euros d'ISF d'ici 2022 pour les 1000 premiers patrimoines).
 
Gontcharov il y a 2 semaines
Rockrol Effectivement! Et en plus, de quelle brutalité de l'Histoire parle cet homme? Est-il né au milieu d'une guerre civile, ou d'une famine...? Quel narcissisme suffisant! Il y a un monde entre la vraie brutalité du monde et la dépression à la française.
 
LeClos il y a 2 semaines
Gontcharov, allez expliquer à François "président pendant 3 mois" Fillon et à son électorat que ça n'a pas été un peu brutal. Si les mots "narcissisme suffisant" sont ceux qui vous viennent à l'esprit pour qualifier le constat que fait ici E. Macron, c'est soit que vous manquez de vocabulaire, soit que tous les jours, quel que soit le propos, et quitte à être ridicule, il est dans votre cahier des charges personnel de rapprocher les mots "Macron" et "narcissisme suffisant". Sinon je ne vois pas.
 
Gontcharov il y a 2 semaines
LeClos: Vous fréquentez sans doute plus les électeurs de Fillon que moi: expliquez leur que la politique c'est brutal par essence. Mais, la brutalité de l'Histoire, c'est très different. C'est les gens sous les bombes, les noyés en Méditerranée, les tortures dans les geôles -- vous voyez? Ce que notre President n'a pas connu de près et encore moins enfant. Voila la supercherie. Et il y a des gens comme vous pour gober ce discours, je maintiens "narcissique", juste parce que ça vous rassure?
 
Hilare il y a 2 semaines
Implacable lucidité "je suis le fruit d'une effraction".
 
LeClos il y a 2 semaines
Gontcharov, ce "vous fréquentez sans doute plus les électeurs de Fillon que moi" en dit très long sur vous. Quoi qu'il en soit, il m'arrive d'en croiser effectivement et même d'en apprécier quelques uns puisque (au contraire de vous croit-on comprendre, qui vous vantez à demi-mots de ne pas en connaitre) je ne suis pas dans un sectarisme qui me conduirait à me boucher le nez en présence d'amis, de cousins, ou autres, qui ne voteraient pas comme je le souhaiterais.
 
Gontcharov il y a 2 semaines
LeClos Eh oui, je fais le choix de ne pas m'exposer au radium et suis bien heureux de ne pas en compter dans ma famille. C'est une question de choix de vie voyez vous: je ne m'en vante pas, je choisis. Quelque chose me dit que ce sont plutôt les fillonistes qui me fuiraient, vue l'immense largeur d'esprit qu'ils ont exhibé durant cette campagne électorale. Mais... la brutalité de l'Histoire? Une réaction? Non?
 
LeClos il y a 2 semaines
S'il fallait réserver les mots "brutal" et "brutalité" aux seuls évènements que sont les guerres civiles, les bombardements et les famines, ça se saurait, Gontcharov (excusez moi de vous le dire un peu brutalement).
 
Gontcharov il y a 1 semaines
LeClos: "brutalité de L'Histoire", de l'Histoire... qu'est ce qui vous fait peur dans la notion d'Histoire pour que vous l'évitiez à ce point?
 
JM LUSTUKRU il y a 2 semaines
On pourra tout reprocher à Néo-Giscard, mais il sait s'exprimer.
 
gigiL il y a 2 semaines
Dans ce forum, je suis la neu-neu de service . Aujourd'hui, je n'ai pas honte de dire que j'ai découvert le sens d'un mot nouveau pour moi, citoyenne lambda : " ascèse " Je lis : " L'ascétisme est une discipline volontaire du corps et de l'esprit cherchant à tendre vers la perfection, par une forme de perfection et d'abnégation. " L'ascète se sacrifie à l'inutile ? A lire beaucoup de réactions anti- Macron, ce serait le cas puisque, eux, ont les solutions pour réformer notre pays qui va mal.
 
gigiL il y a 2 semaines
Dans ce forum, je suis la neu-neu de service . Aujourd'hui, je n'ai pas honte de dire que j'ai découvert le sens d'un mot nouveau pour moi, citoyenne lambda : " ascèse " Je lis : " L'ascétisme est une discipline volontaire du corps et de l'esprit cherchant à tendre vers la perfection, par une forme de renoncement et d'abnégation. " L'ascète se sacrifie à l'inutile ? A lire beaucoup de réactions anti- Macron, ce serait le cas puisque, eux, ont les solutions pour réformer notre pays qui va mal.

ED il y a 2 jours
Sans être forcément d'accord avec tout ce qu'il fait, c'est la 1ère fois de ma vie (et j'ai 50 ans) où j'ai le sentiment que la France est vraiment gouvernée et que le chef de l'Etat vise l’intérêt collectif à long terme plutôt que les calculs politiciens à court terme. On verra le résultat en 2022. Par contre, si ceux qui le critiquent ici pouvaient se rappeler qu'il a été élu démocratiquement et privilégier les arguments factuels aux insultes, ça ne serait pas plus mal.
 
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PIOTR il y a 2 semaines
Mais que font les "craps" ou les "Hubert" pour apporter les échantillons de gaz à Manu-le-mal-élu ? Vous voyez l'ado appuyer sur le bouton des frappes face aux mig31 ? Puis la comédia continue "la France était malheureuse et inquiète" dit le capitaliste pour donner raison à sa casse sociale. Il est un théâtre qui devient succulent. Nous serons triste de perdre cet acteur oscarisable dans 4ans.
 
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SIMON M il y a 1 semaines
pas d'inquiétude Piotr, vous ne le perdrez pas, et il vous faudra encore vous interroger pendant 5 ans de plus sur le "mal elu, une fois de plus"... mais bon, en même temps, vous avez le droit de préférer ses opposants probables au second tour, Wauquiez ou MLP
 
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Hilare il y a 2 semaines
Bonne nouvelle en tout cas, il y aurait environ 100.000 viols par an en France (chiffre estimé), mais pas de violeurs.
 
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SODOM il y a 2 semaines
Ah bon, il n'y a que des violeuses ?
 
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Rockrol il y a 2 semaines
« Je ne suis pas l’enfant naturel de temps calmes de la vie politique, je suis le fruit d’une forme de brutalité de l’Histoire, une effraction car la France était malheureuse et inquiète », a-t-il poursuivi. « Si j’oublie ça », alors « ce sera le début de l’épreuve ». Chapeau bas devant ce sens de la perspective historique. Maintenant on espère des résultats pour tous car les "premiers de cordée" ont été très bien servis (-3 millions d'Euros d'ISF d'ici 2022 pour les 1000 premiers patrimoines).
 
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Gontcharov il y a 2 semaines
Rockrol Effectivement! Et en plus, de quelle brutalité de l'Histoire parle cet homme? Est-il né au milieu d'une guerre civile, ou d'une famine...? Quel narcissisme suffisant! Il y a un monde entre la vraie brutalité du monde et la dépression à la française.
 
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LeClos il y a 2 semaines
Gontcharov, allez expliquer à François "président pendant 3 mois" Fillon et à son électorat que ça n'a pas été un peu brutal. Si les mots "narcissisme suffisant" sont ceux qui vous viennent à l'esprit pour qualifier le constat que fait ici E. Macron, c'est soit que vous manquez de vocabulaire, soit que tous les jours, quel que soit le propos, et quitte à être ridicule, il est dans votre cahier des charges personnel de rapprocher les mots "Macron" et "narcissisme suffisant". Sinon je ne vois pas.
 
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Gontcharov il y a 2 semaines
LeClos: Vous fréquentez sans doute plus les électeurs de Fillon que moi: expliquez leur que la politique c'est brutal par essence. Mais, la brutalité de l'Histoire, c'est très different. C'est les gens sous les bombes, les noyés en Méditerranée, les tortures dans les geôles -- vous voyez? Ce que notre President n'a pas connu de près et encore moins enfant. Voila la supercherie. Et il y a des gens comme vous pour gober ce discours, je maintiens "narcissique", juste parce que ça vous rassure?
 
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Hilare il y a 2 semaines
Implacable lucidité "je suis le fruit d'une effraction".
 
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LeClos il y a 2 semaines
Gontcharov, ce "vous fréquentez sans doute plus les électeurs de Fillon que moi" en dit très long sur vous. Quoi qu'il en soit, il m'arrive d'en croiser effectivement et même d'en apprécier quelques uns puisque (au contraire de vous croit-on comprendre, qui vous vantez à demi-mots de ne pas en connaitre) je ne suis pas dans un sectarisme qui me conduirait à me boucher le nez en présence d'amis, de cousins, ou autres, qui ne voteraient pas comme je le souhaiterais.
 
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Gontcharov il y a 2 semaines
LeClos Eh oui, je fais le choix de ne pas m'exposer au radium et suis bien heureux de ne pas en compter dans ma famille. C'est une question de choix de vie voyez vous: je ne m'en vante pas, je choisis. Quelque chose me dit que ce sont plutôt les fillonistes qui me fuiraient, vue l'immense largeur d'esprit qu'ils ont exhibé durant cette campagne électorale. Mais... la brutalité de l'Histoire? Une réaction? Non?
 
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LeClos il y a 2 semaines
S'il fallait réserver les mots "brutal" et "brutalité" aux seuls évènements que sont les guerres civiles, les bombardements et les famines, ça se saurait, Gontcharov (excusez moi de vous le dire un peu brutalement).
 
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Gontcharov il y a 1 semaines
LeClos: "brutalité de L'Histoire", de l'Histoire... qu'est ce qui vous fait peur dans la notion d'Histoire pour que vous l'évitiez à ce point?
 
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JM LUSTUKRU il y a 2 semaines
On pourra tout reprocher à Néo-Giscard, mais il sait s'exprimer.
 
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gigiL il y a 2 semaines
Dans ce forum, je suis la neu-neu de service . Aujourd'hui, je n'ai pas honte de dire que j'ai découvert le sens d'un mot nouveau pour moi, citoyenne lambda : " ascèse " Je lis : " L'ascétisme est une discipline volontaire du corps et de l'esprit cherchant à tendre vers la perfection, par une forme de perfection et d'abnégation. " L'ascète se sacrifie à l'inutile ? A lire beaucoup de réactions anti- Macron, ce serait le cas puisque, eux, ont les solutions pour réformer notre pays qui va mal.
 
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gigiL il y a 2 semaines
Dans ce forum, je suis la neu-neu de service . Aujourd'hui, je n'ai pas honte de dire que j'ai découvert le sens d'un mot nouveau pour moi, citoyenne lambda : " ascèse " Je lis : " L'ascétisme est une discipline volontaire du corps et de l'esprit cherchant à tendre vers la perfection, par une forme de renoncement et d'abnégation. " L'ascète se sacrifie à l'inutile ? A lire beaucoup de réactions anti- Macron, ce serait le cas puisque, eux, ont les solutions pour réformer notre pays qui va mal.
 
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Pragmatique il y a 2 semaines
Rappel à tous les contempteurs : il a été élu sur une ligne sociale-libérale (pas ma came) et dès lors, je ne vois pas bien comment on peut faire mieux et plus ("ascèse" ça change de Hollande ou Chirac) que ce qu'il fait dans ce cadre. Il est très conscient et lucide sur l'état du pays et sait que s'il échoue à le remettre sur les rails, le coup d'après, ça ne sera plus une "effraction" mais un renversement de table. Son diagnostic est bon, laissons-lui le temps ; il faut y aller fort, très fort
 
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SIMON M il y a 1 semaines
@pragmatique; +1... ça énerve ses contempteurs, mais personne ne peut remettre en cause sa cohérence, et son boulot
 
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Ménilmontant52 il y a 2 semaines
Article parsemé des petites vacheries gratuites dont ces 2 journalistes sont spécialistes lorsqu'il s'agit d'E Macron. LM n'en sort pas grandi.
 
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cassandra il y a 2 semaines
il est en train de casser méthodiquement tous nos services publics, pour laisser la place aux entreprises privés sur notre dos. et pour cela, il doit baisser les recettes de l'etat et dégrader les services dans la santé, l'éducation, les équipements, il s'y emploie avec énergie, il est mandaté par ses amis financiers pour cela. tant pis pour nous si nous ne réagissons pas.
 
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bof il y a 2 semaines
Pour l'instant les prélèvements obligatoires augmentent, vous en voulez plus ?
 
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PIERRE DUMONT il y a 2 semaines
Il me semblait vous avoir conseillé le calme, l'analyse, la lucidité et une grande tasse de tisane apaisante...
 
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Boileau il y a 2 semaines
Vous oubliez , chère cassandra, qu'on lui doit aussi les inondations et les chuts de neige....
 
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Hilare il y a 2 semaines
Des inondations et des chutes de neige se produisent régulièrement. Chaque nouvel épisode nous inflige le triste spectacle de l'impuissance fille d'incurie aussi à l'aise ici que dans n'importe quel pays sous développé. Seule nuance, quelques pourcents de plus sur la prochaine quittance d'assurance.
 
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MARYSE ESPINET il y a 2 semaines
@cassandra " méthodiquement" avez vous dit ? Hélas je crains que pas plus de vision globale il n'y aie de méthode !...... Sinon celle du coup par coup et des mesures isolées et non coordonnées .
 
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JS il y a 2 semaines
« Assis sous des bustes dénudés de dieux grecs... » Le Monde n’a-t-il pas mieux à faire que de persifler ainsi ? Ses journalistes vedettes se plaignent du fait que le président ne parle pas suffisamment avec les médias et voilà qu’on nous parle du décor du Grand palais que l’on connaît bien et qui, a priori, n’a pas été commandé par Emmanuel Macron. Soyez sérieux, précis, intransigeant, c’est ce que l’on attend de notre « journal de référence ». À la longue, cela devient pénible. Vraiment !
 
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Gontcharov il y a 2 semaines
JS Mais en quoi rappeler à un président, dont les pouvoirs sont partis les plus étendus dans les démocraties occidentales, à un peu d'humilité peut-il être négatif? En quoi refuser de verser dans l'obséquiosité, ou refuser de renforcer ce qu'il faut bien l'admettre s'appelle "la grosse tête" peut-il vous déranger à ce point? La seule conclusion reste que les gens comme vous ne savent tout simplement pas ce que veut dire "démocratie", "équilibre des pouvoirs".    
 
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JS il y a 2 semaines
@ Gontcharov : si je vous comprends bien, la décoration du Grand Palais est due à la grosse tête de Macron... si ça vous fait plaisir !
 
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Gontcharov il y a 2 semaines
JS: Persifler: Tourner quelqu'un en ridicule par des compliments ironiques, se moquer de lui (Larousse). Ce ne sont pas les décorations du Grand Palais qui sont en cause, mais notre président. Les journalistes en ont le droit et même le devoir. Que le Grand Palais existe est un fait, historique. S'y pavaner marque la (dé)mesure d'un président qui, grâce à des soutiens comme le vôtre, oublie souvent que la France est une République et qu'elle a bien souffert pour le devenir et le rester.
 
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PRÉSIDENTS il y a 2 semaines
Auriez vous préféré la démagogie de Méluche,? ou le sournois histrionisme de Fillon ? Ou l'ineptie de Marine ?
 
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Benoit B. il y a 2 semaines
Aucun des quatre en fait, tout simplement. Vous pouvez ajouter Hamon, du fait de son passé de frondeur et de son parcours actuel, ce qui fait donc cinq.
 
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Accessit il y a 2 semaines
Des derniers présidentes Aucun arrive a l’ascèse de celui ci
 
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Benoit B. il y a 2 semaines
Comment expliquer une fois de plus que « les retraités » ne sont pas un corps homogène, que la situation monétaire et patrimoniale des plus jeunes retraités d’aujourd’hui est très loin d’être équivalente à celle des retraités du début des années 2000 par exemple.
 
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MARYSE ESPINET il y a 2 semaines
@Mauvais sang Bien vu ,bien dit ! On pourrait ajouter que à voir le peu d'engagement RÉEL (dans quelque sens que ce soit ) d'une grande partie de nos compatriotes ,et notre propension à nous comporter comme des " électeurs -consommateurs " et non comme des citoyens qui prennent les choses en mains ,on peut difficilement espérer avoir mieux ...
 
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emphatie il y a 2 semaines
Si on est de bonne foi,on ne peut pas lui reprocher un manque de travail et une certaine lucidité.On peut,en même temps,reprocher à ses prédécesseurs,aujourd'hui dans l'opposition,une exigence,une impatience,un trop plein d'idées,ou pas,sur ce qu'il faut faire ou ne pas faire,alors qu'ils ont si peu fait en étant aux manettes.A chaque réforme,un Woerth nous explique aujourd'hui que "c'est superficiel et que ça ne va pas assez loin".C'est très bien comme ça.Pourvou qué ça doure.
 
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kitou 13 il y a 2 semaines
A BOF Parlotte toi même ..... Tu confonds philosophie et blabla ... Tu as déjà assisté a des cours de philo ou de géopolitique ?? Qu'elles sont tes lectures ??
 
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@Kitou double il y a 2 semaines
Moi je lis le Bled....il dit qu'elles sont ce qu'elles sont. Mais quelles sont-elles est une autre question!
 
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Bof il y a 2 semaines
Bof est agrégé de philo. D'autres questions ?
 
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Fog il y a 2 semaines
Bof bluffe.
 
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marif il y a 2 semaines
Bravo Macron ! Belle plaidoirie pour la démocratie On est fier d'avoir un président jeune , intelligent, brillant , déterminé 1 par siècle je vous dis ....
 
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GIGI 23 il y a 2 semaines
Finalement Macron, ce serait comme une synthèse du sarkosysme et du hollandisme...
 
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marif il y a 2 semaines
Pas faux ...100+
 
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R2D2 il y a 2 semaines
Macron est tellement fort qu'il évite méthodiquement depuis 9 mois les questions de journalistes en direct devant des caméras des fois qu'il doive expliquer pourquoi en 2018 il augmente le gazole de 10%. On est condamné à des présidents qui mettent en scène leur propre impuissance.
 
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JS il y a 2 semaines
Macron n’a pas augmenté le gazole de 10 % ! Le prix du baril de pétrole n’est pas fixé par le président de la république française… Ce qu’il a fait, et revendiqué très clairement, c’est de poursuivre le rattrapage de niveau taxation entre le diesel et le super, engagé par Hollande, pour cesser de favoriser un carburant polluant et très nocif pour la santé, du fait de l’émission de particules fines.
 
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Adrien il y a 2 semaines
Le petit peuple se croit en 1789 et rale contre les impots.
 
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R2D2 il y a 2 semaines
Macron est tellement fort qu'il évite méthodiquement depuis 9 mois les questions de journalistes en direct devant des caméras des fois qu'il doive expliquer pourquoi en 2018 il augmente le gazole de 10%. On est condamné à des présidents qui mettent en scène leur propre impuissance.
 
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Nepomouk il y a 2 semaines
Je ne crois pas surestimer l'intelligence du président en disant qu'il me semble capable de répondre à une question sur l'augmentation du prix du diesel qui d'ailleurs pour l'instant n'atteint pas les 10%.
 
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Eric B il y a 2 semaines
Je ne vois pas ce qu'il y a à expliquer sur le gazole: rattrapage par rapport à l'essence, compensation de l'abandon de l'écotaxe... En moyenne les gens ne perdent pas beaucoup plus à cette augmentation que les fameux 5 euros par mois sur les APL. Et pour c'est un sujet majeur?
 
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Eric B il y a 2 semaines
Correction: lire "pour vous" dans ma dernière phrase
 
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Euh il y a 2 semaines
Avant Macron, la France était « malheureuse et inquiète ». Grâce à lui, elle se découvre sous-développée et en proie à la disette alors que les impôts de ceux qui travaillent ne cessent d’augmenter tandis que ceux des riches cosmopolites fraudeurs et spéculateurs diminuent. Il suffit d’un jour de neige pour voir qu’il n’y a plus de services de voirie en état de fonctionner. Il n’y a plus de médecins. L’école se casse la gueule. Les transports publics tombent en décadence. N’en jetez plus !
 
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aloes il y a 2 semaines
Ce n'est pas faux ! Tous les dossiers que l'on a mis de côté depuis 20 ans nous reviennent en boomerang dans l'urgence Prisons, enseignement , Epadh , hôpitaux , formation , police etc ......Et on ne peut pas dire que Macron en soit responsable !
 
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Pétafouaire il y a 2 semaines
Vision simplette. J'étais hier chez le médecin, elle travaille 3 jours par semaine pour ne pas payer trop d'impôts justement, ne prend plus de nouveaux clients, ne reçoit que sur rendez-vous. La France d'aujourd'hui c'est plutôt ça, des gens qui se la coulent douce. Ils sont dans des bureaux ou plus surement chez eux et voudraient qu'on déneige leurs route au moindre flocon. Et ceux qui travaillent payent tout ça.
 
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Aldo38 il y a 2 semaines
Un minimum de réflexion ne nuirait pas ! Vous faites là une description, un peu forcée, des échecs et de l'impuissance des gouvernements précédents depuis 20 ans au moins ! neuf mois c'est un peu court pour remettre un paquebot à l'arrêt à vitesse de marche normale.
 
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Eddy Chausse il y a 2 semaines
Allez très vite faire un tour à l'étranger pour vous rassurer sur l'état de la France. Et pas besoin d'aller très loin.
 
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gigiL il y a 2 semaines
Belle image de notre pays, Euh ! Ce président que vous haîssez est votre bouc émissaire car votre candidat souhaité aurait résolu, en 8 mois tous les problèmes ?
 
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Michel D. il y a 2 semaines
Et Macron serait responsable de tout ça? Ces prédécesseurs de gauche et de droite n'auraient aucune responsabilité? M. Euh, attendez au moins deux ans avant de juger son action sur le fond!
 
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Euh il y a 2 semaines
Il n'y a aucune apparence que Macron résoudra ce que ses prédécesseurs n'ont pas résolu. Surtout en aggravant l'inégalité fiscale et en accroissant l'oppression du salariat.
 
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Cétassez ! il y a 2 semaines
C’est qui le « candidat souhaité » ? Bon sang lais c’est bien sûr, ce sont Fillon ou Mélenchon ! Le simplisme consistant à ne jamais s’interroger sur le lieu d’où vient une critique est la principale caractéristique de la macronie. Forcément, cela évite de s’interroger sur un parcours fait de trahisons de la part de la plupart des acteurs du pouvoir actuel.